Sur le sable doré, ridé par le vent
Les vagues déferlent sans entraves
Nous dévalons les dunes,
retrouvant des sensations d’enfance
Le vent froid, ne glace pas,
mais donne la sensation d’exister
Mon corps me semble trop petit
pour ressentir toute cette immensité
Mon coeur s’emplit de liberté
De tout ça, je ne veux rien emporter
ni photo ni souvenir
seulement garder au fond de moi
ce coeur si grand, prêt à exploser
cette liberté intérieure,
qui ne dépend ni d’ici, ni d’ailleurs